galettes

Galettes de parmesan

Galettes de parmesan

Faire une pâte avec 150 grammes de farine, 100 grammes de beurre, 75 grammes de parmesan, 2 jaunes d’œufs, sel, poivre de Cayenne.

Etendre la pâte au rouleau et la tailler en petites galettes rondes de 5 centimètres de diamètre, et assez minces.

Dorer à l’œuf, et faire cuire les galettes à four chaud.

Puis les accoupler 2 à 2 en mettant au milieu de la crème au parmesan obtenu en mélangeant dans une 1/2 tasse de béchamel épaisse et bouillante ajouter 60 grammes de parmesan, 1 noix de beurre et une pointe de Cayenne.

Servir chaud.

Galette commune

Galette commune

Pétrissez deux litrons de farine avec environ une livre de beurre frais, eau et sel suffisamment délayer petit à petit, ajoutant de l’eau jusqu’à que la pâte devienne molle.

Mettez-la en boule ; aplatissez ensuite avec le rouleau, en poudrant votre table de farine, pour que la pâte ne s’y attache pas; donnez un pouce d’épaisseur, dorer et mettez au four.

Retourner à Galettes

Galette du Berry

Galette du Berry

Délayer dans une terrine, 500 gr de farine, 100 gr de beurre, un verre d’eau, une cuillerée de sel, un jaune d’œuf battu, faire une boule de pâte ; la laisser reposer pendant 20 minutes environ, aplatir la boule sur une planche enduite de beurre, laisser reposer, puis plier en 4 ou 5 à 6 fois de suite.

Aplatir, une dernière fois, placer votre galette sur une tôle beurrée, et faire dorer à feu doux.

Retourner à Galettes

Galette des nymphes

Galette des nymphes

Mettre de la farine de grau sur la planche à pâtisserie, y creuser un puits, y verser une grande cuillerée de crème fraîche et une pincée de sel fin, pétrir de façon à faire absorber par la crème le plus de farine possible.

Etendre la pâte la rouler pour arriver à une épaisseur de 2 millimètres. La couper en petits rectangles, saupoudrer la surface avec du sucre grossièrement pilé et frotté au préalable sur un citron.

Mettre à cuire au four doux.

Aussitôt que la pâte a pris une belle couleur, la retirer du feu.

Servir avec le thé.

Retourner à Galettes

Galette de ménage

Galette de ménage

La confection de cette espèce de pâtisserie est fort simple, mais elle exige beaucoup de soins.

Les proportions ordinaires sont, pour un demi kilogramme de farine, 300 grammes de beurre frais et, selon les goûts, de 15 à 20 grammes de sel.

Assez souvent, on se contente de mêler et de pétrir tant bien que mal tous ces ingrédients ; le beurre n’est pas bien égoutté et contient du petit lait ; la pâte est mal travaillée, et la galette est médiocre.

Voici comment il faut procéder.

Le beurre doit être étendu sur la planche à pétrir, en couche de peu d’épaisseur, puis enlevé et pressé entre deux linges, pour qu’il n’y reste aucune parcelle de petit lait ; ensuite le sel blanc, en poudre fine, est mêlé à la farine dont on forme d’abord avec de l’eau ou du lait frais une pâte assez ferme.

Cela fait, le beurre est divisé en trois parties égales, dont chacune est partagée en tous petits morceaux.

Sur la pâte étendue en couche mince à l’aide du rouleau, les morceaux de beurre sont posés à des distances égales entre elles ; alors la couche de pâte est repliée sur elle-même en trois ou quatre doubles et travaillée soigneusement à l’aide du rouleau qui doit être enduit de farine ainsi que la planche à pâtisserie.

Après l’avoir de nouveau formée en couche mince, on replie les bords vers le centre et l’on pétrit de nouveau pour étendre une troisième fois la pâte.

On y répartit la seconde portion de beurre en petits morceaux en opérant comme pour la première dose.

Après un second travail semblable au premier, la dernière portion de beurre est incorporée comme l’on été les deux autres, puis on forme la pâte en galette ronde ou en carrés très-allongés, d’un travers de doigts d’épaisseur, dont le dessus est sillonné de lignes droites qui se croisent en biais, de manière à dessiner des losanges.

IL ne reste plus alors qu’à mette la galette dans le four, modérément chauffé, et à l’y laisser un heure environ.

Pour lui donner une belle couleur, on a soin, avant de la mettre au four, d’étendre très également sur toute sa surface avec les barbes d’une plume du jaune d’œuf frais, soit seul, soit délayé dans une petite quantité d’eau.

Retourner à Galettes

Galette des rois à la crème d’amandes

Galette des rois à la crème d’amandes

Préparez une pâte feuilletée, découpez-y deux ronds de pâtes d’un centimètre pour chaque rond.

Posez un papier beurré sur une plaque, et déposez un rond puis ajoutez dessus la crème, posez le second rond, et fermer la galette en soudant les bords.

Tracez des lignes horizontales, puis verticales, dorer avec un jaune d’œuf à l’aide d’une plume, piquez avec une aiguille le dessus-de la pâte, et mettre au fourneau pendant 30 minutes en ayant bien soin de surveiller la cuisson.

Crème d’amandes

Prenez 200 grammes d’amandes douces, un demi-litre de lait, 150 grammes de sucre ; pelez les amandes, jetez-les dans l’eau froide, égouttez, pilez en les mouillant de temps en temps d’un peu d’eau.

Battez dans le lait deux œufs, dans lesquels vous délayez le sucre; mettez le mélange sur feu doux et laissez réduire aux trois quarts ajoutez la pâte d’amandes , faites donner un bouillon, passez au tamis et ajouter un peu de fleur d’oranger.

Vous pouvez vous servir pour faire votre galette, d’une pâte d’amandes qui sert aussi bien pour les petites galettes que pour les grandes.

Pâte d’amandes

150 gr amandes douces, 125 gr de sucre en poudre, 100 gr de beurre, 3 gr de vanille en poudre, 2 œufs.

Casser les œufs, séparer les blancs des jaunes. Monder les amandes, les hacher, puis les piler dans un mortier avec les blancs d’œufs, ajouter ensuite le sucre, les jaunes œufs, et le beurre ramolli ; former avec le tout un mélange très homogène.

Cette pâte sert pour garnir les dartois, le gâteau de Pithiviers et les tartelettes.

Démoulez sur un plat.

La galette peut être dégustée tiède ou froide.

Un peu d’histoire :

La galette des rois tire son origine des Saturnales (fêtes romaines situées entre la fin du mois de décembre et le commencement de celui de janvier), durant lesquelles les Romains désignaient un esclave comme « roi d’un jour »

Retourner à Galettes